Contes
Dans ce deuxième volume de contes et nouvelles de Fiona Mac Leod, le monde du rêve et du souvenir nous est peint en des couleurs moins crues et moins violentes que dans Le Chant de l’Épée. L’on y trouve un étrange et inquiétant repos chrétien où se meuvent toutefois les courants souterrains et les échos du paganisme celte.
Les images et les visions d’une nature splendide et rêvée y abondent, les désirs des hommes prennent vie sous la plume du créateur de mythes qu’est Mac Leod, la mélancolie s’y fait de plus en plus présente, et l’on entrevoit déjà la folie, les ténèbres et les tourments du dernier volume de cette trilogie.
« C’était un homme de grand génie, ayant apporté quelque chose de totalement nouveau dans les lettres. »