Assailli par le doute et l’amertume, le narrateur de ce livre part se réfugier dans la méditation en contemplant le ciel nocturne du haut d’une colline. Mais, soudain, son esprit est entraîné au cœur du froid éclat des étoiles dans une odyssée cosmique défiant l’imagination.
Il explorera alors galaxies et civilisations, peuples et cultures de l’univers à la poursuite de Celui qui a tout créé — le Créateur d’étoiles — et de son véritable but…
Ultime volet de la trilogie cosmique d’Olaf Stapledon, commencée par Les Derniers et les Premiers et Les Derniers Hommes à Londres, l’ambition narrative de Créateur d’étoiles impressionne encore aujourd’hui.
Ce roman philosophique nourri de connaissances scientifiques bénéficie ici d’une nouvelle traduction qui emportera le lecteur dans le tourbillon du temps et de l’espace à travers le cosmos pour un voyage unique.
Les treize nouvelles qui composent ce recueil, écrites entre 1898 et 1903, sont autant d’expression du talent de l’auteur de La Guerre des Mondes.
Du fantastique au merveilleux scientifique, en passant par l’humour et la satire sociale, ces textes trop peu connus méritaient de connaître une nouvelle édition. C’est donc chose faite…
Alors, allons maintenant retrouver l’aviateur Filmer, fuyons la Plaine des araignées et évitons de faire nos emplettes au Bazar magique, nous pourrions le regretter…
Accompagné de son oncle François-Gaspard, membre de l’Institut, le jeune ingénieur Raymond Ozoux débarque au Pérou pour retrouver sa fiancée, Marie-Thérèse, descendante d’une grande et illustre famille de conquistadores.
Alors que se prépare dans tout le pays la fête inca de l’Interaymi, un inquiétant et funeste présent est adressé à Marie-Thérèse : un magnifique bracelet d’or. Et, peu de temps après, elle disparaît, enlevée par des Indiens qui semblent la destiner au sacrifice ultime réclamé tous les dix ans par le Dieu Soleil.
Dès lors, s’engage une course-poursuite à travers les fantastiques paysages du Pérou à la recherche de la cité perdue des Incas où Marie-Thérèse sera immolée au Dieu Soleil…
Raymond et ses compagnons arriveront-ils à temps pour la soustraire aux griffes du grand-prêtre Huascar ?
Ce grand roman d’aventures fantastiques, publié ici pour la première fois avec ses illustrations d’origine, a fortement influencé Hergé, comme le lecteur le constatera, pour son aventure de Tintin, Le Temple du Soleil.
Gaston Leroux apporte ici sa pierre au mythe de la cité inca perdue qui aura grandement marqué l’imaginaire occidental…
Situé dans le futur — à des millions d’années de notre présent —, ce roman décrit la fin des temps, sur une Terre désolée à peine éclairée par un soleil agonisant. Deux grandes pyramides de métal abritent encore l’humanité survivante, menacée à l’extérieur par d’indicibles forces maléfiques. Lorsque l’une de ces étranges oasis menace de disparaître, le narrateur du roman se lance, seul, à la recherche de survivants et notamment d’une femme avec laquelle il était en contact télépathique.
Le Pays de la Nuit (publié en 1912) est le récit de cette quête chevaleresque impossible où s’imbriquent amour courtois, combats épiques et sombres descriptions de terres inhospitalières sillonnées par des forces maléfiques.
« Dans toute l’histoire de la littérature, il est peu d’œuvres aussi intensément remarquables, aussi purement créatives, que Le Pays de la Nuit. […] Cette épopée ne pouvait être conçue que par un grand poète. »
Clark Ashton Smith
« Le Pays de la Nuit est l’une des histoires les plus puissantes qu’ait jamais conçues l’imagination macabre. »
H.P. Lovecraft
Depuis des millénaires, la Fédération des Llannan et Guarra se livrent à travers l’univers une guerre totale.
Isolée à la périphérie de notre galaxie, la Terre n’est qu’un objectif insignifiant pour les belligérants. Aussi, les Llanan y ont-ils installé des usines qui fabriquent, dans la plus grande discrétion, des armements de pointe qui alimentent les différents théâtres d’opération. Pour ce faire, ils emploient des humains qui sont loin d’imaginer le but final de leurs activités. Parmi eux, Cal Meacham, un talentueux physicien, est chargé de diriger les chaînes de fabrication de l’« interocitor », une arme redoutable et indispensable aux Llanan.
Mais les choses tournent mal lorsque les Garran, avertis par l’un de leurs espions, décident de détruire la Terre et que les Llanan se retirent, laissant notre planète sans défense…
Adapté au cinéma en 1955 par Joseph M. Newman — en collaboration avec Jack Arnold non crédité —, Les Survivants de l’infini reste à un des films cultes de l’histoire du cinéma de science-fiction.